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LOSAKO
18 janvier 2008

Aimée Kabila, la soeur du président Joseph Kabila assassinée à Kinshasa

anitriap12_5AIMÉE KABILA assassinée pour avoir soulevé à plusieurs reprises deux questions: que sont devenus les biens de son père feu Laurent Désiré Kabila, et qui sont ses héritiers ?

Une des filles de feu Laurent Désiré Kabila, Aimée Kabila, âgée d'une trentaine d'année et mère de 6 enfants, a été assassinée chez elle, dans le quartier Mongafula de Kinshasa, dans la nuit de mardi à mercredi. Un meurtre qui intervient le jour même de la commémoration du 7è anniversaire de la disparition de son père tué par l'un de ses gardes du corps, le 16 janvier 2001.

Selon nos informations ce sont deux hommes armés, un en uniforme militaire l'autre en civil, qui se sont introduits entre 1 heure et 2 heures du matin dans la maison d'Aimée Kabila. Les cadenas ont été fracturés et une vitre donnant accès au salon a été brisée.

Tentant de se réfugier dans la salle de bain, c'est là que la fille de feu Laurent Désiré Kabila a été abattue de plusieurs balles dans l'abdomen. Les enfants d'Aimée Kabila étaient présents.

Alors s'agit-il d'un crime crapuleux ? Selon des sources proches de la famille de la victime, les agresseurs ont fouillé la maison visiblement à la recherche de quelque chose mais à l'exception de téléphones portables rien n'a été emporté.

Différents témoignages indiqueraient par ailleurs qu'environ une heure avant l'agression des jeeps militaires étaient visibles dans le quartier où se trouve le domicile de la victime.

jokaTensions et rivalités dans le clan familial

Ces dernières années, Aimée Kabila se sentait menacée et en avait informé la Monuc (Mission des Nations unies en République démocratique du Congo) et des ONG congolaises de défense des droits de l'homme. Il y a un peu plus d'un an elle avait été arrêtée par les services spéciaux de la police et les renseignements militaires. Aucun motif n'avait été fourni pour justifier cette arrestation... A l'epoque il etait indiqué que l’un des membres du groupe d’escrocs appréhendés serait une soi-disant fille de feu Mzée Laurent Désiré Kabila répondant au nom de Aimée Mulengula Kabila.

Photo N=7...Joseph Kabila

<< Elle se sentait traquée par la police et la GSSP de Kabila >>

Aimée Kabila a été abattue par des hommes armés, dont l'un portait un uniforme de la Garde présidentielle, a indiqué l'organisation de défense des droits de l'Homme la Voix des sans voix (VSV) dans un communiqué. "Mais au stade actuel, rien ne permet de dire s'il s'agit d'un règlement de compte ou d'un crime crapuleux, comme il en arrive toutes les nuits à Kinshasa dans ces circonstances similaires", a indiqué une source sécuritaire congolaise, s'exprimant sous couvert d'anonymat.

Des sources proches de la présidence reconnaissent qu'il existe des tensions et de nombreuses rivalités dans le clan familial. Aimée Kabila proche d'anciens barons de Mzée Laurent Kabila avait soulevé à plusieurs reprises deux questions : que sont devenus les biens de Kabila père, et qui sont ses héritiers ?

QUE SON AME REPOSE EN PAIX

O.M...droit au but

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Commentaires
G
Dans la vie il faut savoir simplifier le chose nous qui sont a l etranger qlq part ns regretons le pays, ce pays qui a etait detruit pendant 32ans part mobutu pouvons nous le construire en 5 ans soit ressonable. soutenos nous mains dans la mains pour cnstruire notre BEAUX pays qui est la RDC.
M
Actuellement nous faissons semblant de ne pas reflechir pour nous cacher derriere des mots. Nous disons ceci le jour pour dire cela le soir si pas demain. Qui oublie combien de fois Joseph Kabila a intente des coups d`Etat en complicite avec son ex-ami Massasu Nindaga? Qui oublie que pas plus tard qu`hier les congolais croyaient un commandant mort avec Massasu a Pweto? Le commandant Hippo n`etait pas presente a Kisangani comme un fils biologique de Laurent. Qui oublie qu`actuellement des fils biologiques de Kabila L-D sillonne le pays en pleine misere? Dites ce que vous voulez mais notre pays sera toujours ce qu`il est aujourd`hui parce que des naifs comme toi et moi n`avons pas eu le temps de dire la verite. Ce pays n`ira jamais de l`avant tant que nous demeurerons hypocrites, faisant croire que nous connaissons alors que nous speculons. Avant de dire ceci ou cela de mensonger et flatterie, je dois d`abord avoir honte de moi-meme et de ma personnalite. Que dit Mwenze Kongolo aujourd`hui, Faustin Munene et Vital Kamerhe demain? Soyons des bons congolais ou bons rwandais, angolais...
G
Assassinat d’Albert PRIGOGINE : « un témoin a parlé”<br /> Il y a quelques temps, nous avons été contactés par un officier supérieur des F.A.R.D.C. que nous appellerons Alex. C’est un nom d’emprunt pour éviter de mettre notre témoin en danger. Cette semaine, il a demandé à bénéficier d’une protection car il se sentait en danger de mort.<br /> Nous avons décidé de le protéger car nous sommes convaincus de sa sincérité. Cette personne nous a rejoints secrètement le 10 octobre 2009 tôt au matin. Nous avons immédiatement mis en place une sécurité mais pour des raisons évidentes, il nous est impossible d’en évoquer la teneur dans le présent document.<br /> Il a évoqué librement et dans les détails les conditions de préparation de l’assassinat de feu Albert Prigogine et la réalisation de cet assassinat.<br /> Samedi 10 octobre 2009, lors de la conférence de presse destinée aux journalistes de Goma, nous avons appelé le témoin par téléphone .En présence des journalistes de Goma, tout le monde a pu entendre avec beaucoup de tristesse et d’émotions, les conditions dans lesquelles feu Albert Prigogine a été assassiné le 13 mars 2008.<br /> Ce que l’officier a révélé est conforme aux informations que nous possédions par ailleurs. Pour rappel, nous avions interrogé de nombreux témoins clandestinement ces derniers mois, éliminé les témoins manipulateurs ou intéressés à l’argent et recoupé les informations dont nous disposions.<br /> Le témoignage d’Alex est conforme à nos informations.<br /> Voici son récit qu’il nous a dicté ce lundi 12 octobre 2009 et qu’il nous a autorisé de communiquer sur internet et à la presse. L’entretien s’est déroulé en swahili et nous avons traduit en langue française. Alex comprend le français mais maîtrise mieux le Swahili. Un exemplaire de ce document est conservé signé en lieu sûr. Nous disposons également d’une cassette d’enregistrement de son témoignage et celui-ci a aussi été enregistré par les journalistes lors de la conférence de presse de samedi dernier. A cet égard, le témoin Alex a glissé des détails à la presse en vue d’éviter son identification. De même, il a décidé de réserver certains détails aux autorités judicaires.<br /> « C’était en janvier 2008, vers 16 heures dans le centre ville de Goma, dans la voiture du Major Patrick (chef de la sécurité du Gouverneur de la Province du NK) avec le Colonel Kakule Maestro quand ce dernier a reçu un appel. Cet appel lui disait que l’heure est arrivée pour le « deal ». Le colonel KaKule a alors dit au Major Patrick qu’il pouvait aller au « traité ». Il a ajouté : « Comme les autres ne sont pas là on peut aller avec Alex ? ». Le Major Patrick a répondu qu’il n’y avait pas de problème. Dans la voiture j’ai demandé de quel « traité » il s’agissait. Ils m’ont répondu que je verrai dès mon arrivée là-bas. J’ai suivi sans savoir où j’allais. Je me suis rassuré en me disant qu’ils étaient des amis, ils ne pouvaient donc pas me mettre dans des problèmes. J’ai vu qu’ils m’emmenaient chez le Colonel Mundos. <br /> Chez le Colonel Mundos, j’ai trouvé le Major Yves du commandant bataillon des GR et le Colonel Mundos lui-même. Mundos a présidé la réunion. « Cette réunion a pour but de voir comment aider Musanganya. Nous l’avons déjà planifié avec le Colonel Delphin et le Gouverneur qui sont déjà d’accord», nous a-t-il dit. <br /> L’objectif de la réunion était de planifier comment trouver des tireurs d’élites pour l’assassinat d’Albert. Ils ont dit qu’ils n’y en avaient pas de disponibles. C’est alors que le Colonel Mundos a demandé au Major Yves s’il pouvait en trouver. Il a répondu qu’il était confiant avec un de la garde républicaine. Ils se sont dits que le Major Patrick pouvait aussi en trouver un autre. C’est alors que le Major Patrick a répondu qu’il ne fallait pas mélanger les tireurs et qu’il en trouvera lui-même. Ce jour là, ils n’ont pas beaucoup parlé. La conversation s’est achevée là. Avant de partir Mundos a donné comme instruction qu’à son retour de Lubumbashi le Major Patrick devra avoir trouvé ces gens là. <br /> C’était le 25 janvier 2008. <br /> Puis, ils sont restés en contact par téléphone. <br /> Le 19 février 2008, Le Major Patrick m’a dit que Mundos était de retour et que je devais me préparer pour la réunion dans l’après midi. C’est ainsi que nous sommes restés ensemble et que nous avons été rejoints par le Colonel Kakule Maestro. <br /> Arrivé là, la même équipe y était composée du Colonel Mundos, Kakule Maestro, Major Patrick, Major Yves et moi-même. Composé en plus des officiers que le Major Patrick a présenté : le Capitaine Moses et Muhindo Moi. <br /> Colonel Mundos a expliqué la mission. Celle d’éliminer Albert Ngezayo (Prigogine) et il a expliqué aux deux capitaines pourquoi l’assassiner. Ils ont demandé ce qu’ils recevront en échange. Mundos leur a promis un peu d’argent avant et une prime après que la mission a pu être exécutée. A la sortie de la réunion, Musanganya est arrivé. II a sorti une enveloppe qu’il a donnée au Colonel Mundos, et celui-ci l’a à son tour donnée au Major Yves sur le côté. Le Major Yves a distribué l’argent. J’ai reçu 500 US Dollars. <br /> Ensuite, nous sommes partis chez le colonel Delphin. Le Colonel Mundos a suivi Le Colonel Delphin dans sa maison. Nous l’avons suivi. Le Colonel Delphin nous a rassurés que la sécurisation du terrain était déjà planifiée.<br /> Lors de ces deux réunions, l’on n’avait pas fixé de date pour la réalisation de l’opération. <br /> Quelques semaines plus tard, ils ont créé une mission pour m’envoyer à Béni. J’ai essayé d’éviter cette mission. Le Colonel Kakule Maestro est venu chez moi me demander pourquoi je ne partais pas, j’ai dit que j’étais malade, parce j’ai trouvé bizarre que l’on m’envoie en mission à Béni. J’ai compris qu’ils voulaient m’écarter de la mission et que j’étais en danger. Je suis resté en maladie. <br /> Puis quand je suis parti à la résidence du Gouverneur pour me présenter au bureau, quelques jours plus tard, ils m’ont demandé d’aller à Mabanga. Je n’y suis pas allé car j’ai trouvé qu’ils voulaient m’envoyer régler quelque chose de ridicule. En fait, c’était le 13 mars 2008. J’ai rebroussé chemin et j’ai été au Tora Tina dans un bar quand j’ai entendu les coups de feu vers la résidence du Gouverneur. J’ai appelé un « escort » du Gouverneur. Il m’a dit qu’il avait entendu des coups de feu mais qu’il ne savait pas de quoi il s’agissait. J’ai appelé le Major Patrick, il m’a dit être à la résidence. J’ai demandé si je pouvais venir ; il m’a dit de passer par le parquet. Je me suis dit que s’il me demandait de passer par le parquet, c’est qu’il voulait m’avoir. J’ai dévié ma trajectoire, j’ai pris le chemin vers la DGM , puis vers les « Sudaf » et je suis passé vers le bas. Sur la route, j’ai croisé le Major Yves accompagné du REDOC (ANR). Ils avaient laissé la voiture et descendaient à pied. J’ai continué ma route vers la résidence du Gouverneur. Eux sont partis sur le lieu de l’assassinat de Prigogine. <br /> Arrivé là, les gardes m’ont dit qu’on avait assassiné Prigogine et que le Major Patrick l’avait emmené à l’hôpital. Je suis sorti et je suis parti sur le lieu de l’assassinat. J’ai reçu l’information qu’on avait tiré sur deux autres personnes. J’ai également cherché à savoir quelle voiture avait opéré. On m’a dit que c’est une des voitures du gouverneur, conduite par le fils de MBWEKI (fils d’un commerçant de la ville qui travaille chez le Gouverneur). La voiture a été mise en sécurité chez le Colonel Delphin. La nuit, la voiture a été transférée à Mabanga chez la belle mère du Gouveneur de la Province du Nord Kivu Julien Paluku. Le lendemain soir, la voiture était transférée à Béni. L’un des tireurs est parti avec la voiture. Peu de temps après, l’autre l’a suivi. »<br /> Voilà en quelques mots le récit du témoin. Pour assurer sa propre sécurité et lutter contre l’impunité en RDC, nous estimons de notre devoir de porter ce témoignage publiquement à l’attention de la population et des autorités.<br /> Pour mémoire, Monsieur Musanganya (Lubongera Antoine ndlr.) est le propriétaire de l’hôtel Cap Kivu construit illégalement sur le site immobilier de la Société Safari Lodge dont feu Albert Prigogine était propriétaire. Le litige entre l’intéressé et feu Albert Prigogine a abouti à la victoire judiciaire de ce dernier qui détient deux arrêts de la cour suprême du Congo. Le colonel Mundos était commandant de brigade à la garde républicaine et aussi le beau-frère de Musanganya. Il a quitté Goma et est actuellement en opération militaire dans le nord est du Congo. Le colonel Delphin était commandant de la 8ème région militaire, chargé des opérations et renseignements. Le major Yves était commandant de bataillon. Le major Patrick est l’instructeur des militaires des gardes du corps du gouverneur. Le colonel Kakule est le conseiller militaire du gouverneur Julien Paluku.<br /> Lors de l’enterrement de notre si cher père, le gouverneur a pris la parole en disant que Dieu seul soufflera le nom des assassins aux oreilles de la commission. La commission constituée par ses soins, n’a jamais fourni de rapport définitif. Le président de cette commission était l’auditeur militaire supérieur du Nord Kivu, le colonel Bokatola José. <br /> Lors de l’interview aux journalistes, le témoin Alex a également donné des précisions quant aux circonstances dans lesquelles deux personnes innocentes ont été assassinées le même jour. Il s’agit de Tshikala, un employé du parquet, qui a reçu une balle dans la jambe et s’est retrouvé agonisant avec le thorax et le bassin écrasé par un véhicule. Le témoin a évoqué des instructions données par le gouverneur et adressées à l’inspecteur provincial NGOY en charge de la police. Le témoin a aussi indiqué qu’un petit enfant présent à hauteur du kiosque situé face au lieu de l’assassinat, a été tué pendant la nuit.<br /> Après l’assassinat, Alex a demandé et obtenu sa mutation en d’autres lieux. Il est revenu récemment à Goma et a contacté la famille.<br /> A la requête de l’avocat de la famille, nous signalons les faits survenus dans la journée du 9 octobre 2009. Nous étions en effet en contact avec un autre témoin, officier militaire, qui promettait de communiquer la vérité. Notre avocat a été prévenu par des sources personnelles dans la ville, que cette personne tentait de piéger Isabelle et Albert Jr., les deux enfants de feu Albert Prigogine et Tekla Jados, présents à Goma, et qu’il ne fallait pas exclure un enlèvement voire pire. Des mesures spéciales de protection ont été immédiatement adoptées avec l’assistance de notre conseil. Effectivement, dans l’après midi, il nous a été proposés de nous rendre dans une maison où nous saurions toute la vérité. La proposition n’avait rien à voir avec la démarche d’un repenti soucieux de contribuer à la manifestation de la vérité. L’analyse menée avec des amis surs a permis de conclure à l’existence d’un piège grossier. Vers 18 heures, notre avocat a appelé l’informateur en lui annonçant qu’il devait suivre les instructions qui seraient données le jour même, dans le respect de la loi, faute de quoi tout contact serait interrompu. Bien nous en pris car aujourd’hui nous sommes convaincus que l’on voulait nous piéger.<br /> La famille Prigogine demande de sécuriser au plus tôt les témoins et de veiller à poursuivre l’instruction de cette affaire. Pour la famille, il faut composer une équipe d’enquêteurs d’élite au dessus de tout soupçon, e.a. en invitant l’auditeur écarté du dossier et séjournant actuellement à Kisangani à rejoindre cette équipe. La constitution de cette nouvelle équipe permettra également de mettre en lumière les entraves apportées à la manifestation de la vérité.<br /> Enfin, la famille Prigogine demande que les personnes citées et impliquées dans cette affaire soient soit placées en garde à vue soit mises en détention provisoire dans les meilleurs délais.<br /> C’est la vérité, rien que la vérité !
M
Bonjour,<br /> dans quel numero c'est trouve la photo d'Aime Kabila, dans cette photo familiale, affichee?
T
Que Joseph soit le fils biologique ou adoptif de Mzee, nous on s'en fout eperdument. On sait que Mzee l'appelait MON FILS. Arretez de nous distraire, nous avons besoin de trouver une solution durable pour developper notre pays. Le mari de Aimee a parle: "Je ne suis au courant d'aucun lien parental entre Aimee et Mzee" Please give us a break.
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