Qui veut la paix, prépare la guerre», dit-on. L’artiste musicien Serge alias Céleo Schramm cherche à entrer en confrontation avec la grande famille de la presse musicale congolaise. A chaque fois que les amis chroniqueurs lui offrent l’occasion de s’exprimer à la télévision ou à la radio, l’ex-animateur du groupe Wenge MMM ne manque jamais de faire des salles déclarations contre le bihebdomadaire «La Vedetta». En outre, avec toute son ingratitude, il va jusqu’à manquer du respect à M. Eliot Mondobe, son Secrétaire général qui est en déplacement en Europe avec l’Ambassadeur de la paix, Werrason. Il faut suivre les émissions musicales qui passent les week-end ou le dimanche à Kinshasa pour comprendre comment Céleo autrement dit «Tata Mapasa» s’attaque gratuitement à l’Editeur dudit journal spécialisé dans les informations musicales, sportives et socio- culturelles. L’artiste s’illustre dans des propos discourtois et diffamatoires, rien que pour discréditer le journal vis-à-vis de ses lecteurs.
D’après certaines indiscrétions, La Vedetta, un journal pro Werrason, aurait écrit des nouvelles ‘‘erronées’’ qui n’ont pas plu à l’animateur (Atalaku). Alors que le journal, comme église au milieu du village, fait son travail toujours dans l’honnêteté pour informer et instruire les fanatiques et toute l’opinion kinoise en général. Cette manière de traiter la presse n’arrange pas certains observateurs avertis qui soutiennent que DJ Schramm mérite une sanction au cas où il continuerait à faire des fausses campagnes contre les responsables de l’hebdomadaire. Etant donné que la liberté d’expression, un droit pour tout citoyen, personne ne peut interdire à Tata Mapasa d’exprimer ses sentiments à la presse. Mais, il doit à tout prix contrôler son langage pour ne pas léser la presse qui est une arme à double tranchant, c’est-à-dire, qu’elle a le pouvoir de propulser et de rabaisser l’artiste quel que soit son talent. Quitter l’orchestre Wenge MMM n’est pas synonyme d’utiliser la presse comme son bouc émissaire. Il a été écrit nulle part dans le livre de vie que la carrière de Céleo doit finir toujours à côté du Roi de la forêt. Il n’est pas le premier à claquer la porte, souvient-on. S’il veut se séparer du groupe, il faut néanmoins qu’il parte dans le calme. En lieu et place de mêler la presse dans de telles histoires. D’aucuns n’ignorent qu’au Congo-Kinshasa, un musicien n’a jamais fait un départ rose à son patron.
N’est-ce pas lui qu’on appelait Muana Mayele (enfant intelligent) par son patron le Roi de la forêt ? N’est-ce pas lui qui est le seul musicien de Wenge MM a avoir tisser assez des relations grâce à Werrason ?
Quelle ingratitude Schramm !
La reconnaissance n’est pas de ce monde !