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LOSAKO
30 septembre 2008

RDC...ON PARTAGE LE GATEAU : La primature au PPRD, une vice-primature au Palu

98423090246e8f193b1452Quatre jours se sont écoulés depuis que le premier ministre Antoine Gizenga a déposé sa démission, et on ne connaît pas toujours le nom de son successeur. Cette démission n’était pourtant pas une surprise pour la famille politique du président Kabila qui, cette fois-ci, était décidée à avoir la peau de l’Ancien premier ministre par une interpellation qui devait aboutir à une motion de censure à l’Assemblée Nationale. Dans sa réponse à la lettre de Gizenga, Kabila n’a fait que prendre acte. Depuis on attend.

Telle une secte soumise à l’autorité absolue d’un chef charismatique, le Palu s’est enfermé dans son mutisme légendaire, attendant, semble-t-il, l’aboutissement des tractations qui auraient commencé à la demande du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD), qui n’entend plus laisser au Palu le poste de premier ministre.

A ceux qui évoquent les accords signé avant le second tour de l’élection présidentielle de 2006 avec le Palu, selon lesquels ce poste revenait à ce parti politique pendant tout le mandat de Joseph Kabila à la présidence de la République, le PPRD rétorque ‘‘les accords sont fait par les hommes et pour les hommes’’.

Une vice-primature pour le Paluarton284

En revanche, il proposerait au Palu une vice-primature, en plus de quelques postes ministériels. Selon certaines indiscrétions, le Palu n’aurait aucun intérêt à provoquer une crise politique dans le pays, car il ne reste plus que deux ans avant les prochaines élections générales. De ce fait, on ne voit pas, dans les milieux proches du Palu, ce premier ministre qui viendrait opérer des miracles pour redresser la situation chaotique dans lequel se trouve le pays et redonner le sourire à une population abandonnée à elle-même.

A ce jour, en effet, tous les indicateurs sont au rouge, de l’administration publique à la diplomatie, en passant par le secteur judiciaire, l’enseignement, la santé, les infrastructures…Sans oublier l’épineuse crise à l’Est du pays. En fait, en réfléchissant de cette manière, les milieux proches du Palu semblent jeter l’éponge. Est-ce un aveu d’échec ?

Par ailleurs, on est convaincu dans ces milieux que c’est essentiellement pour avoir le contrôle des finances publiques que le PPRD veut arracher la primature. Ce n’est nullement pour faire un quelconque bien au peuple de ce pays. Ceci justifie sans doute la guerre de succession qui déchire le camp présidentiel depuis l’annonce de la démission de Gizenga. C’est l’occasion ou jamais pour certaines personnalités de se positionner encore mieux et ajouter une ligne supplémentaire dans leur curriculum vitae. Mais tout cela, pas pour l’intérêt du Congo. O.M/Le Révélateur

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Commentaires
K
francoisempindi@ymail.com<br /> à kongolais@gmail.com<br /> date 1 octobre 2008 13:32<br /> objet Lettre d’une camarade du PALU à un traitre nommé Ngbanda<br /> signé par ymail.com<br /> <br /> masquer le détail 13:32 (il y a 1 heure)<br /> <br /> <br /> Répondre<br /> <br /> <br /> <br /> Un événement majeur cristallise l’actualité politique en République Démocratique du Congo : il s’agit de la démission du Premier ministre Antoine Gizenga. Après avoir consacré les plus belles années de sa vie à la cause congolaise, le patriarche a décidé de se mettre en marge de la joute politique. Avec d’autres, notamment Patrice Lumumba, Gizenga s’est battu et a milité des années durant, pour l’autodétermination de l’Afrique et du Congo en particulier. Tour à tour commissaire du gouvernement et ministre, Gizenga a souffert dans sa chaire et ce, dès l’inauguration de l’aventure hasardeuse du règne de Mobutu. D’abord emprisonné à Bulambemba (1962-1964), il a été ensuite contraint à un exil de plus de vingt cinq ans à travers les pays de l’Est de l’europe. Il doit son retour dans l’arène politique, grâce à sa participation au forum intercongolais de Sun city en Afrique du sud, où il a prit une part active aux débats et à fait preuve d’un grand réalisme et de grand sens de responsabilité, en signant avec d’autres, l’accord qui à conduit à l’organisation des élections (juillet 2006), en guise de conclusion au processus démocratique. Arrivé troisième, il scellera un accord politique et appellera à voter pour le candidat Kabila. Nommé Premier ministre, il s’attaquera à la des chantiers d’envergure, comme la réforme du secteur de la fonction publique, la lutte contre la corruption, la ré-visitation des contrats miniers, d’ailleurs, la dernière mission du FMI en RDC, a adressé ses encouragements au Premier ministre pour les efforts déployé, en vue de réduire les déficits. Au moment où le patriarche Gizenga rend le tablier, le chantier de réformes à poursuivre est déjà balisé.<br /> <br /> Il convient ici de rendre hommage, à un homme, à un leader et enfin à un parcours dont le terme sonne comme une leçon à l’ensemble de la classe politique congolaise et rien que pour cela, nous les filles et fils du Bandundu en particulier et d’autres compatriotes issus d’autres provinces de la république, saluons ce digne fils et serviteur de l’état.<br /> <br /> Aujourd’hui, l’un de fossoyeur de l’histoire du Congo, j’ai nommé le « Terminator », Ngbanda, un personnage dont la simple évocation du patronyme hérisse les poils de plus d’un congolais, tant il a excellé dans l’art et la manière de torturer et/ou de tuer ses compatriotes sous le régime du non moins sinistre Mobutu.<br /> <br /> Les mains dégoulinantes de sang, la langue pendue par la pratique du mensonge qu’il a érigé en idéologie, le tortionnaire reconverti en apprenti-pasteur, à cause des affres de l’exil. Ngbanda qui ne représente plus que l’ombre de lui-même, s’évertue à salir ceux qui ont su dire « non », ceux qui ont su résister au régime de Mobutu ainsi qu’à son ingénierie de la torture et de l’escroquerie. A moins d’être frappé par une amnésie totale, tous les congolais, ne peuvent pas oublier les complots et autres scénarios élaborés par Ngbanda, pour étancher sa soif de sang du peuple et ou s’enrichir sur le dos du peuple. Je fais ici, allusion au détournement des bourses destinés aux étudiants congolais de Belgique, au trafic de chanvre qu’il a impulsé et alimenté en Belgique, sans oublier la non moins fameuse affaire de « la clinique Genoulier » les kinoises et kinois que nous sommes, n’oublierons jamais vos fameux « hiboux » qui ont semé meurtre et désolation au sein de l’UFERI, de l’UDPS ou encore parmi la paisible population de kinshasa. Aujourd’hui, apprenti-pasteur, nous n’avons jamais oublié, votre initiative de réprimer violement, la marche pacifique des chrétiens en 1992. Nous passons sous silence également la fausse mutinerie de « la voix du zaïre », dont l’unique objectif était de faire tuer dans l’œuf.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Sur un plan plus personnel :<br /> <br /> Votre légendaire cupidité vous a conduit à lâcher votre frère Jean-Pierre, tout Bruxelles en parle encore. Vous avez perçu de l’argent en prévision d’un retour à Kinshasa, via vos hommes de mains qui sont arrivés à Kinshasa via Brazzaville, ces derniers sont mécontents et très déçus par votre cupidité. Vous osez critiquez le camarde Gizenga qui lui, contrairement à vous, a toujours fait preuve d’honnêteté et de transparence. Les quelques brebis égarés et autres amnésiques de l’APARECO qui tendent encore l’oreille à vos élucubrations, ne doivent pas faire perdre de vue aux congolais qui pour beaucoup, vous doivent leur exil dans les métropoles occidentales. Le mépris et le dégout que vous suscitez lors de vos apparitions à Choisy ou encore à l’hôtel Holliday inn (place de la république) m’inspire la nausée.<br /> <br /> Vous voilà dos au mur, contraint de vociférer des contre-vérités, pour justifier de votre condition de réfugié politique, pardon, de naufragé économique.<br /> <br /> « bake kota ba réunions samu na mpagi Gizenga, beto me vutula Ngbanda ve »<br /> <br /> F.MPINDI
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