Zimbabwe:Honte à Mugabe et autres rigolos,Museveni,Kagame,Nguesso,Dos Santos parrains de Kabila qui ne veulent pas du changement
Toute révolution est commencée par des idéalistes, poursuivi par des démolisseurs et achevée par un tyran...
<< Ecraser l'innocent peuple Zimbabwéen qui résiste, c'est le seul moyen que le tyran Mugabe et son armée emploient pour se faire place en mainte circonstance... >>
Le Zimbabwe se préparait samedi à
une lutte acharnée entre l'opposition et le parti du président Robert
Mugabe, qui a retrouvé toute sa combativité en vue d'un second tour à
la présidentielle, alors que les résultats restent en suspens.
Mugabe, 84 ans, qui dirige l'ex Rhodésie britannique depuis son indépendance en 1980, n'a fait aucun commentaire depuis qu'il a glissé son bulletin de vote dans l'urne, il y a une semaine.
Il n'a même pas réagi quand son parti, l'Union nationale africaine du Zimbabwe-Front patriotique (Zanu-PF) a perdu sa majorité de 28 ans à la chambre des députés, alimentant les rumeurs sur un possible retrait du plus vieux chef d'Etat africain.
Mais vendredi, il a présidé une réunion du bureau politique de la Zanu-PF, qui a décidé de lancer une contre-offensive.
"Nous sommes affaiblis, mais pas hors jeu", a tonné le secrétaire pour l'administration de la Zanu-PF, Didymus Mutasa, en sortant de la rencontre.
"Il est certain qu'il y aura un second tour", a-t-il poursuivi. "Le candidat sera évidemment Robert Gabriel Mugabe. Qui d'autres pourrions nous choisir à la place de notre cher Vieux?"
Le parti entend également contester devant un tribunal électoral sa défaite aux législatives dans au moins 16 circonscriptions, arguant d'irrégularités.
Si elle parvenait à obtenir gain de cause dans ces circonscriptions, la Zanu-PF, qui selon les résultats des législatives dispose 97 sièges sur 210, pourrait retrouver le contrôle de la chambre basse.
Le Mouvement pour le changement démocratique (MDC, opposition) a reconnu "le droit démocratique" de la Zanu-PF à contester l'élection, tout en avançant ses propres pions.
Toujours dans le noir concernant les scores des candidats à la présidentielle, le MDC a annoncé vendredi avoir saisi la justice pour obliger la commission électorale du Zimbabwe (ZEC) à publier le décompte des suffrages.
Anticipant d'éventuelle manipulation des résultats, le MDC avait diffusé mercredi son propre décompte, revendiquant la victoire au premier tour pour son chef, Morgan Tsvangirai.
Le MDC avait toutefois ajouté qu'il se plierait à un second tour si les résultats officiels différaient des siens.
Dans cette atmosphère tendue, deux journalistes, un Américain et un Britannique, ont été inculpés vendredi par la police pour avoir couvert les élections sans accréditation et restaient en détention dans la soirée.
UNE FOIS N'EST PAS COUTUME... DE LUMUMBA A OBAMA !
Africains d’ici et d’ailleurs, vous êtes les témoins privilégiés d’une
Révolution Historique extraordinaire. Oui, les choses se précisent au
fil du temps et nous voyons clairement se dessiner sous nos yeux, les
contour de plus en plus nets des deux Afriques qui s’affronteront
inévitablement !
L’une est moderne, révolutionnaire, tournée vers le
futur et le développement, avec à sa tête des chefs d’Etat instruits, combattifs, ayant le soutien indéfectible de leur peuple et surtout qui
ne doivent pas leur élection à la mafia de la communauté internationale. Ce sont des
Chefs d’Etat qui savent que leur continent a les moyens de sortir de ce
gouffre dans lequel les Occidentaux avec comme tête de fil les Etats-Unis les
a plongés.
Exemple: le Mali, le Ghana, le Sénégal, le Mozambique, le Botswana, l'Afrique du sud etc...
A l’opposée de celle-ci, il y a la vieille et ténébreuse
Afrique avec d’anciens putschistes, despotes peu ou prou illettrés,
parvenus à la tête des Etats africains grâce aux fraudes électorales et
autres coups d’Etat fomentés depuis les cellules africaines du Pentagone et de l'union européenne !
Exemple: les putschistes-présidents à vie... Omar Bongo, Robert Mugabe, Paul Biya, Dos Santos, Sassou Nguesso etc... les despotes peu ou prou illettrés... Joseph Kabila, Faure Eyadema, François Bozize, Paul Kagame etc...
Et les Chefs d’Etat qui s’inscrivent dans ce malheureux schéma tracé
par la communauté internationale pour spolier les pays africains n’ont en retour que le
mépris du peuple africain nouveau !
Le décor est planté et tout porte à croire que le
clash n’est plus pour très loin.
AFP/O.M...vive la Révolution !