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LOSAKO
29 janvier 2008

Joseph Kabila : Sept années de mystère, Sept ans de vache maigre...Sept ans de malheur, Sept ans et toujours pas de démocratie !

8216560Le 26 janvier 2001, soit dix jours après le décès non-élucidé à ce jour du président Laurent-Désiré Kabila, son successeur inattendu, Joseph Kabila, 29 ans, est investi en qualité de chef d’Etat d’un des plus grands pays d’Afrique noire tant par superficie (2.345.000 km²) que par sa population (+/- 50 millions d’habitants). Samedi 26 janvier 2008, «Joseph» a accompli, jour pour jour, sept années de présence à la tête de l’Etat congolais soit presque deux législatures aux Etats-Unis d’Amérique. Sept années après, l’homme continue à demeurer un mystère pour ses compatriotes. Un mystère qui s’épaissit au regard des promesses non-tenues.

«Je m’engage» à mettre sur pied «une armée et une police modernes, fortes, bien équipées, respectables et respectueuses des droits de chacun, capables de défendre la nation en toutes circonstances». Voici une des annonces tonitruantes faites par Joseph Kabila lors de son investiture le 26 janvier 2001. Sept années après, cette promesse, comme tant d’autres, n’a pas été suivie d’effets. N’en déplaise aux zélateurs nationaux et internationaux du «raïs», la récente signature à Goma d’un accord de paix entre le gouvernement de Kinshasa et les groupes armés opérant dans les deux provinces du Kivu est tout sauf une «victoire politique». Cette cérémonie constitue en réalité le prolongement de la défaite militaire de Mushaki. Défaite infligée aux forces gouvernementales par les guérilleros nkundistes. Joseph a été contraint de côtoyer ceux que son ministre de la Défense, le PPRD Chikez Diemu, désignait encore récemment comme des «bandits de grand chemin». Il s’agit des combattants du CNDP (Congrès national pour la défense du peuple) de Laurent Nkunda. Pendant plus de deux semaines, les officiels venus de Kinshasa ont dû négocier avec des individus auxquels Kabila promettait des bosses et des plaies.

Trois défis

Outre la modernisation de l’armée et de la police, le successeur du «Mzee» s’était surtout fixé trois défis majeurs. A savoir : réunifier le pays ; restaurer la bonne gouvernance et démocratiser la vie politique. Quels sont les résultats à mettre à son crédit ? Quels sont les problèmes qui ont été résolus depuis sept ans ? La RD Congo exerce-t-elle une compétence exclusive sur son territoire ? Les besoins de la population en eau courante et électricité sont-ils satisfaits ? Qu’en est-il des soins de santé, de l’éducation, de la mobilité et des infrastructures ? La sécurité des personnes et des biens est-elle mieux assurée ? Quid de la cohésion nationale ? Les Congolais sont-ils plus libres qu’avant ? La majorité au pouvoir respecte-t-elle l’opposition ? Le pays est-il devenu moins dépendant des partenaires extérieures ? Dans son ouvrage, auto-édité en 2006, intitulé «Pourquoi j’ai choisi Joseph Kabila», Vital Kamerhe, l’actuel président de l’Assemblée nationale, semble y répondre dès la page 5 : « (…), en mettant fin à la guerre, en dotant notre pays d’une Constitution issu du référendum populaire quarante et un an après et en réussissant le pari de l’organisation des élections démocratiques et transparentes, les premières depuis plus de quatre décennies, Joseph Kabila aura été l’homme de l’espoir et du destin du Congo nouveau». Et d’ajouter à la page 157 : « (…), Joseph Kabila restera dans l’histoire de ce pays comme l’homme qui a su privilégier la recherche de la paix et du dialogue en lieu et place du langage des armes et de la duplicité. Il restera l’homme de la réunification et de la pacification du Congo.»

L’autorité de l’Etat

L’avis émit par Vital est loin de trouver grâce aux yeux de certains observateurs. «Aucun opérateur politique congolais ne peut décemment s’attribuer le semblant d’embellie que connaît la RD Congo», déclarait fin 2004, le diplomate euro-italien Aldo Ajello, alors envoyé spécial de l’Union européenne pour la Région des Grands Lacs. C’était quelques mois après la constitution du gouvernement de transition. «La transition au Congo ressemble à une machine dotée d’un système de freinage extraordinaire et un système d’accélération défaillant», ironisait-il. Une manière d’insinuer que sans l’aide de la «communauté internationale», le Congo serait encore écartelé entre le gouvernement de Kinshasa et les ex-mouvements rebelles. Le dialogue inter-congolais n’aurait pas eu lieu. Les élections, non plus. L’ambassadeur britannique à Kinshasa d’enfoncer le clou début février 2006 : «La RDC ne peut pas se développer, ne peut pas prendre sa place qui lui revient en tant que leader en Afrique, lorsque quelques individus au pouvoir ne pensent qu’à s’enrichir eux-mêmes pendant que les autres crèvent de faim». Le territoire national a-t-il été réunifié ? La présence des groupes armés au Nord et Sud Kivu prouvent que la réunification du territoire national reste problématique en dépit du précieux concours apporté par les troupes onusiennes. Pire, le comité provincial de sécurité a découvert l’année dernière que des agents de l’ANR (Agence nationale des renseignements), en poste à Goma, ont établi leurs domiciliés à Gisenyi, au Rwanda. Des rapports rédigés l’année dernière par des experts des Nations Unies attestent que des aéronefs privés continuent à faire des navettes entre certaines localités minières du Kivu avec les aéroports d’Entebbe en Ouganda, de Kigali et de Bujumbura. Et ce, à l’abri de tout contrôle douanier. A maintes reprises, les responsables de la MONUC ont à maintes reprises reproché, en termes à peine voilés, l’indolence des gouvernants congolais à étendre l’autorité de l’Etat sur le territoire national. "Il est du devoir du gouvernement, dans l’exercice de son droit souverain, d’établir son autorité sur toute l’étendue du pays et de proposer à la MONUC les façons par lesquelles la communauté internationale et la MONUC peuvent aider », déclarait, fin juin 2007, Peter Swarbrick, alors directeur de la Division de Désarmement, Démobilisation, Rapatriement, Réinstallation et Réintégration (DDRRR).

Bradage

Restauration de la bonne gouvernance ? Ici aussi, on est loin du compte dans la mesure où quelques critères théoriques permettent d’évaluer le contenu de ce principe. C’est le cas notamment de l’obligation pour les dirigeants de rendre compte de leurs actions, censées être en adéquation avec les objectifs ; la transparence dans le processus décisionnel ; l’efficacité et surtout la primauté du droit. Depuis l’arrivée de Joseph au pouvoir, les affaires publiques sont gérées dans la plus grande opacité au sein d’un petit cercle oligarchique. Les pouvoirs publics congolais ne communiquent pas assez. Il notoire que plusieurs dizaines de concessions minières de la Gécamines ont été cédées à vil prix. Bradées. Des membres de l’entourage de Joseph Kabila sont suspectés d’avoir été «arrosés» par les nouveaux acquéreurs. L’opinion congolaise attend toujours de prendre connaissance du rapport remis au gouvernement par la commission chargée de «revisiter» les «contrats léonins» en matière minière. C’est le silence plat. L’efficacité ? La réalité est là : la satisfaction des besoins essentiels de la population est loin d’être au centre des priorités des gouvernants. Les observateurs sont unanimes pour reconnaître que la situation générale au plan économique et social ne cesse de s’empirer. Un gouvernement efficace n’est-il pas justement celui qui donne des réponses adéquates aux attentes des citoyens ? Un gouvernement efficace n’est-il pas également celui qui rend son pays moins dépendant de l’extérieur ? Sept années après, la RD Congo a perdu les notions même de l’indépendance et de la fierté nationale (La coopération belge a financé en 2006, la réhabilitation des ports de Kinshasa et de Matadi. Coût : un million d’euros). Plus grave, l’Etat congolais est en passe de devenir une sorte de «sous-colonie» de quelques Etats africains. C’est le cas de l’Angola qui est devenu le «protecteur» de Joseph. A quel prix pour les ressources énergétiques du Congo ? Il en est de même du Rwanda et de l’Ouganda. Est-ce pour cette raison que Joseph laisse pourrir la situation dans la partie orientale du pays ? Depuis sept ans, la RD Congo est devenue la risée de certains pays voisins qui lui disputent la souveraineté sur certaines parties de son territoire. Après l’Angola et l’Ouganda, c’est maintenant le tour de la Centrafrique. Demain, à qui le tour ?

«Septennat» sanglant

Primauté du droit ? Le monde des affaires ne cesse de se plaindre des contrôles incessants des agents du fisc. La RD Congo continue à caracoler dans le «Top 50» des pays où règnent l’insécurité juridique et judiciaire. L’exercice des droits et libertés a connu un grave recul. Il y a comme une volonté de restaurer un pouvoir despotique. «Les méthodes n’ont pas changé», déclarait, en avril 2005, Floribert Chebeya, président de l’association de défense des droits de l’Homme «La Voix des Sans-voix» (VSV). «Les lieux de détention parallèle continuent d’exister.» Au moment où nous couchons ces lignes, on apprenait que Chebeya aurait quelques «ennuis judiciaires». Il ne fait l’ombre d’un doute que c’est en rapport avec l’assassinat de la dame Aimée Kabila, une des filles de Laurent-Désiré Kabila. La «VSV» et son président ont eu le courage de dénoncer le rôle trouble joué par des éléments des forces de sécurité dans ce qui ressemble bien à un crime d’Etat. C’est le lieu de souligner que durant ces sept dernières années, plusieurs exécutions extrajudiciaires ont été camouflées en crimes crapuleux. Le monde congolais de la presse attend toujours de connaître les noms des commanditaires du meurtre des journalistes Franck Ngycke et Mwamba Bapuwa. Le sang des 134 adeptes du mouvement politico-religieux Bundu dia Kongo, abattus en janvier 2007, continue à crier vengeance au ciel. Il en est de même de celui des 600 victimes des affrontements des 22 et 23 mars dernier entre les hommes de Kabila et ceux de Jean-Pierre Bemba. Le rapport d’enquête établi par la Division des droits de l’homme de la MONUC est plus qu’accablant. Des éléments de la garde prétorienne de Kabila sont accusés d’avoir commis plus d’une centaine d’exécutions sommaires. C’est un «septennat» particulièrement sanglant.

Hewa Bora II

Au total, sept années après son accession à la magistrature suprême, Joseph reste une énigme pour ses concitoyens. L’homme se mure dans un silence assourdissant tant sur ses origines que son parcours. Le sujet est devenu le secret d’Etat le mieux gardé en RD Congo. Ceux qui savent la vérité se taisent. Certains d’entre eux n’hésitent pas à murmurer que Joseph Kabila est un «imposteur». Où est-il né ? Quel est son parcours scolaire ? Quelle profession a-t-il exercé avant de faire son service militaire en Tanzanie (voir interview accordée par Sifa Mahanya au quotidien bruxellois « Le Soir » daté 16 novembre 2006) et de rejoindre les troupes de l’AFDL ? Depuis quand porte-t-il le patronyme de Kabila ? Les réponses à ces interrogations sont loin de briller par une certaine cohérence. «Il est né à Hewa Bora II, collectivité Lulenge, en territoire Fizi, province du Sud Kivu», peut-on lire dans le réquisitoire prononcé, lors de la cérémonie d’investiture, par le procureur général de la République de l’époque, Luhonge Kabinda Ngoy. Pour la petite histoire, aucune localité congolaise ne porte cette dénomination qui n’est qu’une création fantaisiste à l’époque du maquis kabiliste. Ce haut magistrat avait donc commis un faux en écriture. Dans son opuscule citée précédemment, Kamerhe mentionne «Fizi» comme lieu de naissance de l’actuel président. Pas un mot sur la jeunesse de l’homme. L’histoire commence en 1996. Dans son «Essai biographique sur Laurent-Désiré Kabila», paru chez L’Harmattan en 2001, l’historien belge Erik Kennes écrit à la page 229, cette note de bas de page : « Yungu, c’est l’endroit où est né son fils Joseph Kabila.» A la page 298, l’auteur note : « Dans l’entre-temps, en 1970, Laurent Kabila avait pris pour épouse Sifa. Neuf enfants naîtront de cette union. Les premiers sont des jumeaux, nés à Mpiki», «près de Hewa Bora». Ils sont nés le 04 juin 1971. Il s’agit de Joseph Kabange et Jenny Kyungu. Quelle est la bonne version ? Hewa Bora II, Fizi, Yungu ou Mpiki ? Des proches de la famille de Kabila père sont formels : Sifa Mahanya n’est pas la mère de Joseph. « De son vrai nom, l’actuel président de la RDC s’appelle Kanambe Joseph. Il est le fils de feu Christopher Kanambe et d’une certaine Marcelline». L’homme qui parle s’appelle Etienne Kabila, un des enfants biologiques de Laurent-Désiré. C’était le 15 avril 2002 à Sun-City, en Afrique du Sud.

Mystères

Depuis quand Joseph porte-t-il le patronyme de Kabila ? «Pour des raisons évidentes de clandestinité, il {Joseph} s’est aussi appelé Kabange, Mtwale, Hyppolite», écrit Célectin Kabuya Lumuna dans son livre «Les quatre premiers présidents du Congo.», paru aux éditions Secco & Cedi. Dans un portrait intitulé «Le vrai Kabila», François Soudan, directeur de de l’hebdomadaire parisien «Jeune Afrique», écrit ce qui suit dans le n°3 de la «Revue de l’intelligence du monde» : « Joseph et Jaynet, qui n’ont jusque là connu que l’école de brousse du parti, sont inscrits sur des noms d’emprunt (Kabange, puis Kanambe) dans un collège francophone de Dar-es-salam (…).» Des bonnes sources indiquent qu’à l’époque où il était à l’état-major général des FARDC, l’actuel président signait toutes ses correspondances officielles comme suit : « Joseph K. ». Question : K comme Kabila ou Kanambe ? Les circonstances exactes de la disparition de Laurent-Désiré Kabila est un autre mystère qui colle à la peau du «raïs» autant que le choix porté en sa personne, un homme jeune, sans base sociale et inexpérimenté pour prendre la direction d’un pays comme la RD Congo. LD Kabila a-t-il été assassiné ? Par qui ? Pourquoi ? Ces trois questions restent sans réponses sept années après. Une seule certitude : le Mzee avait beaucoup d’ennemis. Un document confidentiel rédigé par des avocats de la défense à l’issue du procès sur l’assassinat du Mzee semble ébranler la thèse de meurtre par balles. Selon les auteurs de cette note, trois experts en médecine commis par la Cour d’ordre militaire ont fait deux observations importantes. Primo : «(…), la position du corps du défunt, telle que décrite par les témoins, ne leur paraît pas être celle qu’aurait dû adopter une personne décédée des suites d’un traumatisme causé par balles». Secundo : «Ils se sont inquiétés de l’absence de saignement, alors qu’une balle avait sectionné l’aorte, conduit principal du sang». Conclusion de ces experts : «L’absence de ce saignement présume que les blessures faites par balles n’ont dû intervenir qu’après le décès».

Un mensonge d’Etat

LD Kabila a-t-il succombé à la suite d’un empoisonnement ? Divers témoignages assurent que la dame Sifa Mahanya était embastillée à la prison centrale de Makala quelques jours avant ce 16 janvier. Souffrant des troubles gastriques, Kabila père soupçonnait sa compagne d’avoir mis une «potion» dans sa nourriture. Ce mardi 16 janvier 2001, des tirs ont été entendus, durant une demi-heure, au palais de Marbre. Aucun rapport d’enquête n’a pu dire qui tirait sur qui. Ces tirs n’étaient-ils qu’une diversion destinée à accréditer la thèse d’un attentat ? On le sait, Emile Mota, ancien conseiller économique à la Présidence, s’est rendu célèbre par ses déclarations contradictoires. L’homme clame avoir été le témoin oculaire du meurtre. Sans convaincre. Le corps de LD Kabila a-t-il été criblé de balles après le constat du décès par ses proches ? Cette hypothèse est loin d’être risible. Deux détails troublants. Des sources bien informées soutiennent que 48 heures avant la date fatidique du 16 janvier, le «Mzee» développait une crise d’hypertension artérielle. Il était sous baxter. Des médecins cubains se trouvaient à son chevet. Notons qu’un médecin congolais figure parmi les condamnés du procès des «assassins» de Kabila. L’homme était poursuivi pour… vol. Il s’agit du médecin urgentiste Armand Kabunga Mutombo. Il assurait la permanence aux cliniques de Ngaliema quand le corps sans vie du «Mzee» a été amené à ce centre hospitalier de la capitale. Kabunga a été arrêté le 2 janvier 2002 par l’ANR. Au motif qu’il aurait subtilisé les vêtements que portait le défunt. On peut gager que ce praticien a été intrigué par l’absence de saignement en dépit de l’existence apparente d’impacts de balles. A-t-il été poursuivi pour chapardage ou plutôt pour avoir soutiré des éléments compromettants pour le successeur du Mzee ? Et si la cérémonie d’investiture organisée le 26 janvier 2001 n’a servi qu’à légaliser un mensonge d’Etat ? Une imposture ?

O.M/B. A. Wetshi

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Commentaires
M
Si vous voulez la vérité sur la mort de Mzee veuillez demander qu'on vous donne les cassettes des auditions aussi de la commission internationale que du proceès , aulieu de raconter des betises croyant s'attirer la sympathie des populations. Nous devons être sérieux. Le jour où vous rencontrerai la Colonel Alamaba, vous serez édifier. Vous avez des lacunes dans votre connaissance en médecine et en balliste. Il faut vous taire.
B
josseph kabila ne doit pas faire un segond mandat
P
Tous les forums Congolais de discussions ne sont pas educatifs du tout. Curieusement les soit-disant Bana Mboka (refugies economiques), eux qui sont censes promouvoir l'image de leur pays a l'etranger, passent plutot leur temps precieux pour ternir l'image de leur pays au lieu de la promouvoir. On a assez dit sur le president Joseph kabila Kabange. Il nous represente tres valablement a l'etranger et qu'on lui donne du respect en tant que mokonzi oyo peuple eponaki. Il est grand temps qu'on aborde des sujets pertinents, des discussions intellectuelles qui peuvent aussi redresser notre gouvernement. Ce n'est pas en taxant Kabila d'etranger et Bemba de traitre que l'on parviendra a resoudre les problemes qui sont dans notre pays. Le role de la diaspora est celui de promouvoir le tourisme et convaincre les investisseurs a aller investir dans notre pays. Ce n'est pas le moment de parler politique. Dans trois ans on aura tout le temps de parler politique lors de la campagne electorale. Quand les Congolais de l'etranger se reunissent, apprend-t-on, c'est soit makambo ya eglise ou ya politique. La priere seule, mes amis, ne suffit pas. Nous devons plutot passer a l'action et il existe plusieurs manieres de le faire. Ce n'est pas l'initiative qui manque.
N
joseph Kabila a beaucoup de courage !!!
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