Impudicité: une femme mariée attrapée en flagrant délit...Bruxelles comme Kin...coup de foudre pamba pamba !
Trop,
c’est trop, dit-on. Les femmes mariées plus impudiques et infidèles que
les jeunes filles non mariées. Les faits les plus frappants se sont
déroulés, le samedi 19 Mai 2007, au quartier Mokali à Kimbanseke. Une
femme mariée officiellement devant le notaire public a été saisie en
fragrant délit d’adultère dans un Hôtel de la place. Son amant, de même
état civil, a été transféré dans un sous-commissariat de la Police du
quartier. Trois jours plus tôt, les mêmes faits se sont produits au
quartier Salongo à Limete. Un témoin oculaire approché par La
Prospérité s’est dit ému. De même qu’une jeune fille de 14 ans a décrié
la même chose. « Comment un Papa marié dont je connais bien l’épouse
venait d’entrer dans l’hôtel de mon père accompagnée d’une femme
d’autrui que je connais aussi bien ? », s’est-elle interrogé, en outre,
la mort dans l’âme.
Quel genre de parents, ajouta la jeune fille, pourrons-nous avoir
comme modèle à suivre dans ce pays des fous ? D’après un sondage
récemment mené, 8 sur 10 observateurs de Kinshasa estiment que les
femmes dûment mariées sont de plus en plus infidèles que les jeunes
filles. Il convient ainsi aux maris de prendre leurs responsabilités
pour savoir ce qu’est son épouse, quand est-ce qu’elle sort, où elle va
et quand est-ce qu’elle rentre, qu’amène-t-elle et de qui elle en a eu
? Ceci évitera à la femme vertueuse de se perdre dans les méandres de
la prostitution et de la débauche.
Dans le cas contraire, la femme sera porteuse de malheurs et
malédictions. La confiance n’exclut pas le contrôle surtout que la
rigueur du mari, sa vie et celle du foyer en dépendent étroitement.
Les cas de flagrant délit d’infidélités de femmes mariées sont
permanents. A Kinshasa, c’est dans des terrasses autour d’un verre de
bière, dans les lieux de travail, dans des bureaux, restaurants et
surtout dans des hôtels que certaines femmes mariées légères se
sacrifient au profit de leurs amants. Elles se dénudent sans le moindre
état d’âme. Des parties intimes de leurs corps, réservées exclusivement
au seul époux légitime, sont laissées à la curiosité de quelques
compagnons occasionnels. C’est grave ! Oh, Dieu ! Autant sanctionner,
l’heure ayant naturellement sonné. Que dire encore de ce comportement
hideux qui frise le mal jusqu’à la moelle épinière. Des hommes mêlés
aux femmes légères forment une mixture mortelle. Dans les temps
anciens, c’est ce qui attira la colère de Dieu à Sodome et Gomorrhe. La
femme de Loth, une fois sortie de cette vie sadique, fit transformée en
une colonne de sol à cause de son entêtement. La cruauté des faits
aujourd’hui redonne pleinement à Dieu raison. Il faut peut-être qu’il
agisse. Tel, un père rigoureux, il doit sévir. Qu’il répande ainsi
plusieurs malédictions matérielles, spirituelles et morales sur toutes
chairs infidèles ! C’est une prière.