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LOSAKO
18 mai 2007

Le grand Che-Guevara doit agir...Une exigence pour le chef de l'Etat !

99675 Quand on regarde attentivement l’évolution politique de notre pays depuis les tragiques événements du mois de mars dernier, on ne peut pas ne pas voir que nous sommes en train de nous éloigner des visées pour lesquelles notre peuple avait vivement souhaité l’avènement de la troisième République. Nous avions voulu la paix, nous récoltons l’insécurité. Nous cherchions ardemment à devenir une démocratie, nous sommes en plein processus d’instauration d’une dictature aberrante. Nos ambitionnions de construire un espace de prospérité collective, nous nous trouvons sur la voie de l’intensification de la corruption et de la mise sur pied d’une oligarchie incompétente et prédatrice, qui nous plongera dans une misère plus effroyable encore que celle d’aujourd’hui, si les tendances actuelles se prolongent. Nous désirions un gouvernement dynamique et créatif, nous avons aujourd’hui une équipe dirigeante désemparée et immobile, incapable d’imprimer sa marque sur les orientations de la vie politique de la nation. Nous désirions la brise, nous avons la tempête.

L’exil du sénateur Jean-Pierre Bemba, le processus de sa mise en examen pour crimes contre l’Etat, l’intimidation constante des députés de l’opposition par des forces militaires ainsi que le refus de cette opposition parlementaire de participer aux travaux de l’Assemblée dans les conditions actuelles d’insécurité sont des signes qui ne trompent pas. Ceux qui veulent n’y voir qu’une simple poussée des dents dans la croissance de la troisième République ne comprennent pas encore ce qui se trame réellement dans l’arène politique de notre pays. Ils ne voient pas que le pouvoir actuel veut tout simplement en finir avec toute opposition politique pour instaurer un régime dont je crains qu’il nous ramène aux pires périodes de la terreur mobutiste. Avec tous les risques de redonner à certains leaders l’envie et l’opportunité de reprendre la lutte armée, de paralyser complètement le fonctionnement des institutions du pays et de nous replonger dans un nouveau bain de sang, selon la logique de la « libération » qui a mis fin au régime du Maréchal Mobutu dans la tragédie nationale qui est encore fraîche au fin fond de nos mémoires.

Qui est responsable de cette dérive du pays ?

Il faut le dire clairement pendant que le processus de dictature se met encore en place : le responsable de la logique actuelle est notre président de la République lui-même. Sa psychologie est devenue dangereuse. Les paroles, les faits et les gestes qui portent cette psychologie et la manifestent sont de plus en plus nuisibles. Ils nous mènent tout droit vers une catastrophe contre laquelle nous devons lutter dès maintenant, si nous ne voulons pas que notre pays sombre dans un nouveau chaos.

Au lieu de nous divertir dans des commentaires sur l’avenir politique de Jean-Pierre Bemba ou sur les orientations des institutions financières internationales pour notre pays ; au lieu de nous intéresser aux manœuvres de politiciens de seconde zone qui jouent aujourd’hui les seconds couteaux dans la vie politique sur notre sol, il est urgent que nous nous nous concentrions sur la maladie du pouvoir qui s’est emparé du chef de l’Etat et sur la manière d’en juguler les effets dès maintenant, avant qu’il ne soit trop tard.

A mes yeux, il n’y a qu’un problème politique majeur qui mérite notre attention. C’est celui du complexe de crocodile qui pousse Joseph Kabila Kabange à penser qu’il doit devenir l’unique caïman dans le marigot de la République démocratique du Congo. Si rien n’est fait pour détourner le président de la République de cette obsession, celle-ci le fera imploser d’une manière ou d’une autre. Et le pays plongera dans un gouffre dont nous risquons de ne pas sortir pendant très longtemps.

J’insiste : le nœud de notre vrai problème est là maintenant, et nulle part ailleurs. Il faut le dénouer avec intelligence ou le couper purement et simplement, comme Alexandre le grand le fit face au nœud gordien.

Un chef d’Etat malade de son propre itinéraire politique

Le problème dont je parle est celui que représente notre président actuel : la conscience qu’il a de n’être pas encore un vrai chef d’Etat avec tous les pouvoirs afférents à ce titre dans les pays intertropicaux d’Afrique. Plus je porte mon regard sur l’itinéraire politique de Joseph Kabila Kabange en analysant les différentes étapes de sa présence à la tête de notre pays, plus je me rends compte qu’il est torturé par l’image qu’il sait que nous avons de lui, nous peuple du Congo dans notre imaginaire profond.

Quand il accède à la magistrature suprême après l’assassinat de son père, tout le monde le voit comme un jeune homme mis à l’avant-scène par des barons aux abois face à l’imprévu. Il apparaît comme une solution de circonstance qui arrange le système mis en place par les nouveaux maîtres de la Rdc, à la suite de l’invasion du pays par l’armée rwandaise. A l’époque, j’ai trouvé symptomatique que l’idéologue et étincelant griot mobutiste, puis kabiliste, Dominique Sakombi Inongo, ait proposé d’affubler le nouveau président d’un sobriquet qui disait bien ce qu’il voulait dire : Junior. De même, l’étonnant et provoquant personnage de la République, Abdoulay Yerodia Ndombasi désignait le chef de l’Etat par le nom très familier de fiston. Cette manière de nommer le nouveau président faisait de la RDC le pays « dont le prince est un enfant ». Même la population s’était mise à appeler Joseph Kabila d’un nom affectueux mais significatif : Muana, le bébé, le petit, l’enfant, le jeune homme. A cette époque, le président ne pouvait pas avoir une autre conscience de lui-même que celle d’un enfant mis au pouvoir par les tontons pour une politique qui ne pouvait être que celle des tontons. Il n’était pas l’homme fort de la Rdc, mais l’enfant énigmatique que personne ne connaissant réellement, dont on se demandait même s’il parlait français ou s’il était vraiment originaire de notre pays.

Quand il s’avisa de prendre véritablement le pouvoir en se délivrant de l’emprise des tontons, c’était pour tomber dans les griffes internationales de certains princes d’Occident. Chirac parlait de lui comme d’un jeune homme qui apprend vite. Il éprouvait sans doute à son égard la tendresse d’un grand-père qui veut bercer et pouponner son petit-fils encore dans les langes du pouvoir. George W. Bush s’était aussi pris d’une sympathie paternelle pour le jeune président congolais. La Belgique donna d’autres tontons au nouveau chef d’Etats. Parmi eux figuraient à la fois des « communistes » amis de Laurent-Désiré Kabila, des nostalgiques de la grandeur belge en Afrique et de nouvelles figures du rayonnement international de la Belgique comme Louis Michel. J’imagine que ces nouveaux grands-pères, pères et tontons blancs de Joseph Kabila Kabange l’ont entouré d’un cordon politique sécuritaire qui l’a enserré dans un système où il s’est plu à développer une psychologie d’enfant choyé, de môme gâté à qui tout vient comme par grâce, par intervention divine. J’imagine aussi que ces nouveaux « pères » de l’orphelin devenu chef l’ont confié à des parrains pour le guider afin qu’il durcisse le cuir et devienne un homme capable d’imposer son pouvoir à tout un peuple. Compte tenu du fait que le pays dont « le prince est un enfant » constitue en même temps un fabuleux eldorado dont il fallait exploiter tranquillement les richesses, les parrains ont cherché à devenir les vrais maîtres de ce paradis géologique, enfermant encore plus Joseph Kabila dans le complexe de bébé pour qui on fait tout dans l’aura du pouvoir. Avec un tel complexe, on a beau être à la tête d’une immense et splendide Arcadie, on ne peut pas se sentir comme un vrai président. On jouit des ornements et des fastes factices du pouvoir, mais on n’est pas le pouvoir et on n’a pas le pouvoir face à son propre peuple. Quand, en plus, on sait que tout le monde sait cela, on souffre de ne vivre que selon les apparences et de ne pas goûter aux vrais délices de l’autorité. Pour un homme politique, il n’y a pas pire souffrance que celle-là.

En même temps que par les parrains d’outre-mer, la psychologie de notre président a été forgée par l’expérience de la « Transition 1+4 ». Une période pénible au cours de laquelle Joseph Kabila Kabange fut enchaîné dans un système où il ne pouvait qu’être à l’étroit, avec quatre vice-présidents qui lui faisaient manifestement ombrage. Ces quatre personnalités avaient de quoi étouffer de leur aura le chef de l’Etat et de réduire à néant la visibilité de son pouvoir. Jean-Pierre Bemba jouissait d’une imposante présence physique et d’une puissance de personnalité littéralement phénoménale. Avec son autorité naturelle et son bagout de tribun séducteur, il écrasait le chef de l’Etat et le réduisait au silence de celui qui n’a rien à dire et à l’implacable flegme de celui qui prépare sa revanche dans l’ombre. Zaidi Ngoma brillait par son statut d’intellectuel de haut niveau et d’homme politique qui maîtrise les problèmes majeurs du monde d’aujourd’hui. Azarias Ruberwa, malgré son relatif effacement, travaillait à l’ombre de puissants parrains rwandais et faisait montre d’une forte intelligence et d’un bon sens crédible dans l’approche de grandes questions nationales. Abdoulaye Yerodia Ndombassi détonnait par le côté fantasque de son personnage et par ses écarts de langage qui le rapprochaient du petit peuple. Dans la hiérarchie 1+4, il n’était pas possible que le « 1 » puissent vraiment s’affirmer comme le chef, même pas comme premier parmi les égaux. Le président n’était que le représentant d’une faction parmi d’autres factions, dans des rapports de force fluctuants entre seigneurs de la guerre. Il a vécu la « Transition » comme un réel calvaire, comme une camisole de force dont il fallait se débarrasser le plus vite, grâce à l’aide des parrains internationaux. En fait, il en a toujours voulu à la « Transition » de l’avoir placé dans l’éteignoir de ses encombrants et ambitieux vice-présidents.

La fin de cette « maudite » « Transition » a été une aubaine pour le chef de l’Etat. « Plébiscité » à ses propres yeux par le peuple, « élu » pour être le nouveau et unique timonier de la nation, « débarrassé » de tous ses concurrents par un processus électoral ambigu, il a cru que le chemin était libre pour devenir un vrai président, le « boss » qu’il rêvait d’être vraiment, le seul « Caïman » du marigot congolais. Les faucons de son camp l’ont poussé dans ce sens. Ils sont même devenus ses nouveaux maîtres qui l’empêchent de grandir et de s’affirmer comme un président lucide et capable d’appréhender les enjeux de notre avenir et d’orienter le destin de notre pays selon des perspectives plus fertiles et plus hautes que les petits intérêts de son clan politique ici et maintenant.

Depuis les tontons compagnons de son père jusqu’aux faucons actuels de son parti en passant par les parrains « d’outre-mer » et les vice-présidents encombrants du système « 1+4 », le président de la République n’a pas encore eu d’espace pour se sentir psychologiquement et politiquement maître du pays. Son problème actuel est dans le complexe que son itinéraire a forgé en lui et dont il cherche maladroitement à sortir. Sa rhétorique belliqueuse actuelle, sa gestuelle de grenouille qui gonfle pour parader devant le peuple, ses manières de vouloir s’affirmer par la violence de l’armée et de sa garde présidentielle, sa foi dans la peur que ses agents de l’ombre sont chargées d’inoculer dans le corps social, tout indique que le chef de l’Etat veut recourir aux recettes du machiavélisme le plus abscons et à la célèbre et atroce conviction des princes qui veulent être craints pour pouvoir régner. Sa garde prétorienne de 15.000 hommes sert désormais cette vision de la politique et du pouvoir. C’est elle qui constitue la véritable légitimité du président dans notre système politique, et non notre peuple qui voit maintenant ce que les nouveaux dirigeants de notre pays sont réellement.

Tant que le président sera dans cette psychologie du complexe de caïman, il ne conduira le pays nulle part. Il tournera en rond dans sa cage où l’enferme ses faucons et se coupera de plus en plus du peuple qui le haïra peu à peu et lui tournera le dos comme ce fut le cas avec son père et avec Mobutu. Quand on sait comment ces deux derniers présidents ont quitté la scène politique nationale, on a pas besoin d’être prophète pour savoir à quelle fin désastreuse les faucons du régime conduisent Joseph Kabila Kabange dans son actuelle politique de caïman aveugle.

Juguler la politique du pire

S’il y avait autour de notre président un think thank intelligent capable de lui proposer des orientations d’action pour sortir de la politique aberrante qu’il mène maintenant, il y a longtemps qu’il lui aurait clairement montré qu’il avait le choix entre quatre lignes politiques possibles pour sortir de sa situation psychique et qu’il a choisi la pire.

La première politique qu’il pouvait adopter est celle de la grandeur de notre nation. Elle l’aurait conduit à vaincre ses complexes « d’enfant gâté » et de « jeune humilié » en recherchant avec ardeur le rayonnement politique et socio-économique de son pays dans le monde. S’il avait voulu pour la Rdc un destin à la hauteur de nos richesses naturelles et de nos atouts humains, Joseph Kabila Kabange aurait pu se donner l’aura d’un grand homme d’Etat dont la victoire électorale pouvait servir à rassembler autour de lui tous les grands leaders et toutes les forces intellectuelles, politiques, morales et spirituelles de la nation dans une commune ambition face au présent et face au futur. Lui qui s’était présenté à nos suffrages comme le candidat du peuple n’aurait pas dû continuer à se comporter comme l’homme du Pprd et de l’Amp, selon la logique partisane qui a conduit le pays vers son éclatement actuel entre la majorité présidentielle, l’opposition constitutionnelle déjà brisée dans son élan et l’opposition historique qui n’a aucune foi dans nos institutions de la troisième République. Cette division ne tardera pas à faire surgir une quatrième opposition, redoutable et farouche : la nouvelle opposition armée dont le but sera d’instaurer la quatrième République. Je ne sais pas si le président est conscient de ce risque et s’il sait qu’il ne peut le juguler que par une politique de main tendue à toutes les énergies politiques et sociales de notre nation.

La deuxième politique que Joseph Kabila Kabange aurait pu choisir est celle de son propre père, Laurent-Désiré Kabila : la politique du despotisme éclairé. Elle consistait à vouloir le bien du pays même dans le recours aux moyens de dictature complètement répréhensibles. Dans sa politique, Laurent-Désiré Kabila ambitionnait de donner au Congo une stature de pays capable de vaincre la pauvreté par l’ordre, le travail et la discipline. Tout le mal de son despotisme avait une part d’ambition justifiable que seule la désorganisation de son système transforma en dictature incohérente et brouillonne. Au fond, Mzee ne parvint pas à incarner réellement le despote éclairé qu’il voulait être. Il n’en eu ni l’intelligence, ni la force, ni le temps, malgré sa volonté. Il était trop pris dans les rapports de force entre ses parrains devenus ennemis et ses alliés transformés en prédateurs sans scrupules pour être en mesure de penser un système politique conforme à ses ambitions, dans un grand dessein de rassembler tout son peuple autour de lui pour construire le futur. Tel qu’il apparaît dans sa manière actuelle de vouloir diriger notre pays, Joseph Kabila Kabange n’a pas choisi d’être un despote éclairé, un dirigeant qui veut le bien de son pays et utilise la force coercitive que lui confère les institutions pour mettre tout le monde ensemble en vue de bâtir un présent de prospérité et un avenir de grandeur. Il s’agite comme s’il était encore en quête du pouvoir alors qu’il a ce pouvoir entre les mains et qu’il ne sait pas ce qu’il faut en faire en matière de bien pour la nation. Du point de vue politique, il n’est pas le fils de son père.

Le troisième choix pour notre président est la politique mobutiste de la destruction du pays dans une dictature obscurantiste et féroce, sans vision pour l’avenir ni autre dessein que la glorification du Chef et de son clan de zélateurs et de prédateurs. C’est la politique du pire. J’ai le sentiment que c’est cette politique qui a le vent en poupe dans l’imaginaire du chef de l’Etat et de ses conseillers les plus écoutés. Le président de la République ne se rend pas compte que son choix est désastreux non seulement pour la nation congolaise, mais pour lui-même. Vouloir gouverner selon le système de peur instauré par Mobutu, c’est se tromper d’époque. C’est oublier que Joseph Kabila Kabange n’est pas Mobutu Sese Seko Kuku Gbendu Waza Banga. C’et surtout ne pas tenir compte du fait que la mentalité de notre peuple a changé en même temps que les conditions de l’ordre mondial. S’il s’obstine à se montrer plus faucon que ses faucons, le président ne devrait pas s’étonner d’être un jour renversé par ses propres parrains qui veulent un Congo paisible à exploiter paisiblement. Ceux d’entre eux qui croient encore que le mobutisme sans Mobutu est possible ne tarderont pas à déchanter bientôt et à préférer à leur poulain actuel un homme plus conciliant et plus ferme en même temps. N’est-ce pas cette ligne de la « fermeté conciliante » que trace déjà Vital Kamerhe au parlement, en fonction des rendez-vous futurs ? Les conseillers qui ont mis dans la tête du président d’exclure Bemba et Tshisekedi du jeu politique congolais et de transformer ce jeu en arène où il serait l’unique caïman l’ont trompé. Ils l’ont mis sur la pente de la rupture avec notre peuple, qui n’est plus disposé à subir une nouvelle dictature.

Que le président se le tienne pour dit : s’il est incapable de mette notre pays sur la voie d’une démocratie paisible et créative, il n’est pas digne d’être notre président. Malgré ses quinze mille soldats de sa garde présidentielle, la démocratie le vaincra et il disparaîtra tête baissée de la scène de notre politique, chassé à la fois par ses parrains, par ses faucons actuels et par le peuple qu’il veut dominer.

Il ne lui reste donc qu’une option à prendre : celle de sa propre grandeur et celle de la grandeur de notre nation. Espérons qu’il est suffisamment intelligent pour prendre ce chemin d’avenir et sortir de sa politique actuelle du pire.

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Commentaires
P
Il ya longtemps que vous aviez commence a parler du depart de Joseph. Vious attendrez longtemps. Il est la pour faire l'histoire. Que le veuillez ou pas, il est et il restera le premier president democratiquement elu de la RDC. Et l'histoire nous en dira plus. Aujourd'hui je suis fier d'etre Congolais. Jadis j'avais honte de prononcer mon identite. Nous etions un peuple qui ne savait rien de la democratie, nous n'avions aucune notion des elections. On nous avait toujours parle de conference nationale et jamais des elections. Nous sommes restes le seul peuple au monde qui pensait que la conference nationale etait la seule voie democratique. Dieu merci avec l'arrivee de Kabange, nous avions montre a la face du monde que nous etions capables choisir nos propres dirigeants par voie democratique. Chose curieuse, Kabila n'a empeche personne a etre candidat aux elections. Seuls les demagogues et manipulateurs de notre peule se sont eux-memes abstenus en avancant des raisons bidons. Pourquoi? parce qu'ils sont tribalistes segragationistes et pleins de haine.<br /> Boble, vous me dites que Tshisekedi est un monument. je dis NON. Tshisekedi est monument de l'UDPS et non pas de la RDC. Qu'est-ce qu'il nous a apporte? C'est un confusionniste. Il s'est engage dans un combat personnel contre Mobutu et ce combat n'a rien beneficie au peuple Congolais. He waisted our time. Maintenant qu'il est vieux,il est grand temps qu'il demande pardon au peuple Congolais pour les betises qu'il a faites et qu'il contune a faire.<br /> Boble, ne revez pas. Le temps de Tshitshi est revolu. C'est le moment pour l'UDPS de s'organiser pour trouver un jeune candidat au lieu de venerer la meme personne.<br /> Revenez a vos sens, Boble et cessez d'etre fanatique et tribaliste. Ca ne m'etonnera pas si vous etes de la meme tribu que tshisthi.Vous ne m'avez ni convaincu ni impressionne. J'en suis desole.
B
SI AUJOURD'HUI NOUS VOULONS PARLER DE LA LIBERTE D'EXPRESSION ET DE LA DEMOCRATIE NE ME PARLE PAS DE TON ASSASIN DE KANAMBE HYPOLITE . L'HOMME EST VENU AVEC LE SANG DE LEUR ENTRER AVEC <br /> KABILA SON PERE ADOPTIF EST CELUI-CI DE RETOUR VIENT DE CONPLOTER AVEC DES CRIMINELS , DES VOLEURS DE NOTRE PAYS LE CONGO POUR TUER CELUI QUI TA NOURRIT ET IL A PRIS SOIN DE TOI POURQUOI ETIENNE KABILA SE REFUGIE EN AFRIQUE DU SUD SI KANABE ETAIT SON FRERE. MR PIERRE KABILA N'IRA NUL PART PARCEQUE IL NE CONNAIT ABSOLUMENT RIEN LA NOMINATION DE KENGO POUR TOI SE LA DEMOCRATIE. NE PARLE PLUS D'ETIENNE TSHITSHI IL EST UN MONUMENT , UN GEANT DE LA DEMOCRATIE EN AFRIQUE QUI A LUTTER POUR LE CONGO ET JE CONPRENDS BIEN TES IDEES , TU NE CONNAIS RIEN DU RD CONGO PEUT ETRE TU EST UN RWANDAIS ET TU NE PEUT PAS CONPARAIS TSHITSHI DOCTEUR EN DROIT ET TON TAXIMAN DE HYPO KANAMBE <br /> 1 . SON IDENTITE FAUX 2.ELECTION FRAUDE 3. SON DIPLOME FAUX ET IL BATTIT SA FONDATION AVEC FRAUDE ET BIENTOT SA MAISON VA S'ECROULER QUAND IL AURA UN GRAND TENPETE QUI VA MAINTENANT SOUFFLER ET TU VERRAS COMMENT CETTE MAISON VA RESSISTE . QUI A CONBATI MOBUTU ? POUR LA DEMOCRATIE ET QUI EST VENU AVEC DU SANG ET DES ARMES POUR TOI CE LA DEOCRATIE . PIERRE AVAIT REFUSER QU'IL ETAIT LE DISCIPLE DE JESUS ET AUJOURD'HUI TU OUBLIES QUI EST LE VERITABLE DEMOCRATE DE TOUT LE TEMPS . PIERRE ETAIT UN HOMME SANS POSITION . TU DOIS CHANGE AMEN
P
J'ai toujours l'impression que certains de nos compatriotes Congolais essaient sillamment de nous pousser a croire a leur propre interpretation de la realite politique de notre pays. Tshisekedi et Bemba sont des Congolais parmi tant d'autres. Tshitshi a fait ses betises politiques et son temps est revolu, observez-le bien aujourd'hui, il a vieilli sans rien apporter de positif a notre Congo. Quant a Bemba, ce politicien aux ambitions pueriles, ne veut toujours pas laisser derriere ses habitudes de rebel.<br /> Une chose est reelle, c'est que Joseph Kabila Kabange, Mtoto wa Mzee, nous a apporte quelque chose de nouveau. Il nous a appris a etre tolerant, il nous a appris la vraie signification de la democratie. On est alle aux urnes apres des annees des jeux enfantins joues par Tshisekedi et ses amis. Kabila a cinq ans pour diriger ce pays, il est grand temps qu'on arrete nos anciennes habitudes de demagogies Tshisekediennes et soutenir Joseph dans ses ambitions prophetiques. Apres tout, il est notre preso elu aux suffrages universels.<br /> L'election de kengo wa dondo a la presidence du senat n'est qu'un autre bel exemple de notre democratie. Kabila-Kengo-Kamerhe: What a great combination!!! On a, a present des gens a la tete capables de redresser l'economie de notre pays.
N
Toucheé par votre témoignage,je vous invite à en discuter un peu plus amplement car dans le font nos partageons le même point d'avis,celui dans lequel notre notion est en train de touner.<br /> cher confrère c'est en nous unissant nos efforts que nous pourrions avancer.ci-joint mon email mekanikos@hotmail.fr si vous souhaiter me répondre.<br /> Amicalement votre,salutation
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